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Le jardin partagé, une idée qui fait son chemin

Cultiver une parcelle avec ses voisins en plein cœur de ville est tentant, mais pas toujours réaliste. Pour preuve, les retours d’expérience qui témoignent du meilleur… comme du pire. Les outils pour mener à bien un projet de jardin partagé, sans porter ombrage à la copropriété.

Un potager pour l’immeuble? L’idée germe depuis longtemps dans la tête de Gérald, copropriétaire dans l’Ouest parisien, qui se voit déjà déguster ses tomates. Sa voisine de palier, présidente du conseil syndical, passionnée d’horticulture, aspire, pour sa part, à agrémenter la pelouse d’un parterre de fleurs et de plantes aromatiques. L’idée de transformer espaces verts et cours intérieures communes en jardins partagés, où chacun peut venir semer, bêcher, planter, voire récolter, séduit de plus en plus d’urbains en quête de verdure, de lien social… et de culture biologique. Le phénomène fleurit à Paris et dans les grandes agglomérations, là où des expériences de jardins communautaires, mis à la disposition des habitants par la mairie, ont déjà vu le jour avec succès. Si l’aventure - le concept est né en Amérique du Nord dans les années 1970 - est tentante, sauter le pas, dans l’Hexagone, est une tout autre histoire. Pour une raison évidente: les immeubles collectifs y sont soumis au régime…

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