Publicité
Réservé aux abonnés

Automédication: les solutions antidouleurs locales

Les anti-inflammatoires locaux soulagent les douleurs musculaires et articulaires d’origine inflammatoireou traumatique. Chacun a sa cible.

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens

Pour les tendinites, entorses et contusions
VoltarenActigo, Niflugel, Diclofénac gel... Ces anti-inflammatoires non stéroidiens (AINS) sont les plus utilisés pour lutter contre la douleur et l’inflammation en cas de tendinite ou d’œdème d’origine traumatique (entorse, contusion). Ils sont aussi indiqués pour soulager les douleurs de l’arthrose des doigts et des genoux.
> Mode d’emploi: Appliquer sur la zone douloureuse ou inflammatoire en massage doux et prolongé 2 à 4 fois par jour. La durée du traitement est limitée à 5 jours.
> Conseils d’utilisation: Se laver les mains après utilisation, ces produits pouvant irriter les yeux et les muqueuses. En cas de réaction cutanée, ne pas renouveler l’application sans avis médical.
> Contre-indications: En cas d’allergie à l’aspirine ou aux AINS utilisés par voie générale (orale, rectale, injectable) et à partir du 6e mois de grossesse.

Les décontractants

Pour les courbatures et les douleurs musculaires
Décontractyl, Lumirelax… Les décontractants musculaires, ou myorelaxants…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 69% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement. Sans engagement

Déjà abonné ? Connectez-vous

Automédication: les solutions antidouleurs locales

S'ABONNER
Partager

Partager via :

Plus d'options

S'abonner