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Après l’AVC

Qu’une revascularisation ait été possible, ou que le patient bénéficie d’une prise en charge médicale plus classique par des équipes spécialisées, les deux premières semaines, en soins intensifs, sont un cap délicat. L’urgence est de stabiliser le patient, en lui évitant des complications (infectieuses notamment). «Le plus important est de faire un bilan de la cause, pour éviter une récidive, car l’AVC n’est pas seulement une maladie aiguë, c’est aussi une maladie chronique», alerte le Pr Thierry Moulin. Rapidement, les premiers soins de rééducation sont initiés, «si possible dans les 24 heures, même si des troubles de la vigilance sont observés», recommande la Haute Autorité de santé (HAS).

Première cause de handicap de l’adulte

La kinésithérapie se limitera alors peut-être à des stimulations tactiles du côté touché par une hémiplégie. «L’orthophoniste vient faire le point sur les éventuels troubles de déglutition», explique le Dr Marie Bruandet. «La rééducation ne commencera pas dans ces toutes premières heures. Le patient…

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