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Premier bail, relocation, encadrement... Fixez le loyer sans vous tromper

Estimer le loyer d’un bien au juste prix est un casse-tête pour le bailleur qui doit couvrir ses charges, rentabiliser son investissement, trouver un locataire et ne pas tomber sous le coup de la loi, qui limite de plus en plus la liberté contractuelle en la matière. Nous passons au crible les régimes de loyers existants, de la localisation géographique du bien, en zone tendue ou non, à son passé locatif, première location, bail en cours, échéance triennale...

Louer, c’est un double défi pour le bailleur! Il s’agit tout à la fois de s’adapter à une conjoncture plutôt morose, en acceptant dans certains cas des sacrifices sur le niveau du loyer escompté et de s’accommoder des contraintes réglementaires, qui limitent sa progression dans un grand nombre de cas. Seules les locations saisonnières et, de manière générale, d’une durée inférieure à huit mois (1) échappent encore à ces exigences. Que les locations soient vides ou meublées, il faut en tout cas y réfléchir à deux fois avant de proposer un loyer à son locataire. Car son montant dépend désormais de deux critères: la localisation géographique du bien et son passé locatif. S’agit-il d’une première mise sur le marché, d’un bail en cours ou d’une remise en location? Nous allons examiner ces différentes situations.

Vous louez votre bien pour la première fois

Un logement ancien est considéré comme étant loué pour la première fois dans deux cas de figure: il est mis en location pour la première fois par le bailleur, ou il est resté inoccupé…

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