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Une ville où investir: Toulouse

La capitale de la nouvelle région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées fait figure d’eldorado pour les investisseurs. Tous sont en quête de la petite surface idéale, bien placée, facile à louer comme à revendre. Mais où faut-il la chercher? Enquête.

Capitale régionale aux 120 000 étudiants, Toulouse offre un marché locatif fluide, où les petites surfaces, du studio au deux-pièces, se louent facilement, pour des loyers variant, selon la surface, entre 450 et 700 €, rarement plus. Reste à savoir où prospecter pour réaliser un investissement patrimonial, alliant faible risque de vacance locative et sécurité à la revente.
S’ils respectent les précautions d’usage, les investisseurs prennent peu de risques à cibler l’hypercentre élargi - ou «le 31000», code postal du secteur - et, dans la proche banlieue sud-est de la ville, la partie du «31400» qui suit le tracé de la ligne B du métro. Soit les quartiers du palais de justice (voir n° 3 sur la carte), de Saint-Michel, Saint-Agne et Rangueil, qui abrite le pôle universitaire scientifique et médical de la ville. Même si l’ouverture du métro, courant 2007, en a quelque peu réduit l’attrait, nombre d’étudiants préférant loger dans le centre et se rendre à l’université en transports en commun

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