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Chauffage urbain, les copropriétaires franciliens floués?

Les copropriétaires reliés au chauffage urbain de la Ville de Paris s’attendaient, dans un contexte de baisse de prix des énergies et de réduction de la TVA, à recevoir une facture allégée. Au final le gain n’est que de 2 %. Nous avons mené l’enquête.

Les Franciliens en froid avec leur réseau de chaleur? Alors que 200 000 logements - dont une moitié faisant partie du parc privé - sont alimentés en chauffage et en eau chaude par la Compagnie parisienne de chauffage urbain ou CPCU, la question de la non-répercussion de la baisse de la TVA sur leurs factures agite en tout cas depuis quelques semaines le milieu des administrateurs de biens… aux côtés - une fois n’est pas coutume - des associations de défense des copropriétaires et des locataires. Un remue-ménage, médiatique aussi, dont se seraient bien passées la CPCU et, par ricochet, la Ville de Paris, qui s’abritent derrière les efforts réellement accomplis pour le déploiement des énergies vertes, granulés de bois et géothermie notamment.

Si l’on veut démêler l’écheveau, il faut remonter à la signature entre les deux protagonistes d’une convention en 2012. Deux objectifs y sont affichés: atteindre 50 % d’énergies renouvelables et éradiquer le «fioul lourd», un combustible générant de la…

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