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Les meilleurs moyens de financer une bonne cause

Les Français sont généreux, leurs dons en témoignent. Ceux qui souhaitent s’impliquer davantage, donner ou léguer beaucoup, disposent de nombreux outils fiscaux pour servir leur action.

L’État encourage la générosité des Français par de multiples dispositifs, en accordant, notamment, des réductions d’impôt sur le revenu (IR) et d’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) en contrepartie de dons. Ainsi, l’allégement d’ISF, créé en 2007, a modifié les comportements des contribuables, qui ont pris l’habitude de donner davantage. Cela a favorisé l’émergence de nouveaux philanthropes, en dehors du cercle traditionnel des familles les plus fortunées. Signe des temps, les banques privées sont de plus en plus nombreuses à proposer à leurs clients leur expertise pour soutenir des actions philanthropiques, tout en optimisant l’impôt sur leurs revenus, leur patrimoine ou sur sa transmission. Ce levier fiscal permet de décupler le soutien financier apporté. Mais quelles que soient les économies réalisées, la démarche reste, avant tout, un acte de générosité. Car un donateur s’appauvrit davantage que s’il payait l’impôt. Autre constat: de plus en plus de donateurs ne se satisfont plus…

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