Publicité
Réservé aux abonnés

3 solutions pour chasser l’humidité des murs

Les infiltrations d’eau par le sol, ou remontées capillaires, peuvent gravement endommager les murs d’une maison. Nous avons sélectionné les 3 solutions les plus couramment mises en œuvre chez les particuliers pour y remédier. Coût, technique, efficacité: notre bilan.

Enduit qui cloque, papier peint ou carrelage qui se décollent, bois qui pourrit, métaux piqués par la rouille, joints et pierres qui se délitent, moisissures qui prolifèrent…, les effets néfastes de l’humidité sur les murs ne sont plus à démontrer. Point essentiel, à vérifier avant d’entreprendre quoi que ce soit: les infiltrations viennent-elles bien du sol?

Un diagnostic déterminera s’il s’agit de remontées capillaires

Ce diagnostic est indispensable. En effet, en cas de problème de condensation dû à un manque de ventilation, de fuite sur une canalisation enterrée, de gouttières bouchées, d’infiltrations par le toit, la façade ou les menuiseries…, les solutions que nous vous présentons ici ne conviendront pas.
Qu’est-ce qu’une remontée capillaire? Les maisons datant d’avant 1950 sont fréquemment sujettes à ce type d’infiltrations. Étant en contact direct avec le sol, leur maçonnerie pompe l’eau, qui les imprègne, à la manière d’un buvard. L’eau passe par les canaux du diamètre d’un cheveu (d’où le nom de capillaires) qui relient entre eux les pores…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 90% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement. Sans engagement

Déjà abonné ? Connectez-vous

3 solutions pour chasser l’humidité des murs

S'ABONNER
Partager

Partager via :

Plus d'options

S'abonner
À lire aussi

Froid : jusqu'à 5 000 € d'aide pour changer de chauffage

Froid : jusqu'à 5 000 € d'aide pour changer de chauffage

Pompe à chaleur, chaudière au fioul ou au gaz, chauffage au bois... Grâce au dispositif « Coup de pouce chauffage », tous les ménages peuvent remplacer leur système de chauffage par une installation moins énergivore. Et ce, sans conditions de revenus. Les foyers les plus modestes ont cependant droit à de primes plus importantes.