Publicité
Réservé aux abonnés

Assainissement autonome, l'installation en questions

Vous possédez une résidence secondaire à la campagne ou vous vivez en milieu rural? Si votre installation sanitaire n’est pas raccordée au tout-à-l’égout, le traitement des eaux usées domestiques vous concerne, comme un habitant sur cinq en France. Ce que vous devez faire pour être en règle, en évitant d’être victime d’abus régulièrement dénoncés par les associations de consommateurs.
Marianne Bertrand

À l’occasion d’un contrôle mené par le service public d’assainissement de ma communauté de communes, j’ai découvert que l’installation d’assainissement autonome de ma maison était incomplète, car ne comportant qu’une fosse septique et pas de dispositif de traitement. Étant situé dans un périmètre protégé pour le captage d’eau potable, je me suis trouvé dans l’obligation de faire des travaux. Les devis obtenus auprès d’entreprises spécialisées en ont chiffré le coût à 7 000 €. J’ai pu financer l’intégralité du projet avec l’aide de l’agence de l’eau de la région et un prêt à taux zéro. Les travaux, validés par le Spanc (Service public d’assainissement non collectif, ndlr), se sont déroulés sans encombre. Lorsque j’ai revendu ma maison, deux années plus tard, aucun contrôle supplémentaire n’a été nécessaire pour produire le diagnostic (effectué par le Spanc, il doit dater de moins de trois ans , ndlr)», se souvient Martin, un quinquagénaire habitant le Loiret. Mais très peu d’usagers connaissent…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 95% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement. Sans engagement

Déjà abonné ? Connectez-vous

Assainissement autonome, l'installation en questions

S'ABONNER
Partager

Partager via :

Plus d'options

S'abonner
À lire aussi