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L’art de gérer un petit immeuble

Les mêmes règles s’appliquent à toutes les copropriétés. Spécifique, cependant, aux immeubles de moins de 10 et 16 lots, le choix entre compte commun et compte séparé, une comptabilité simplifiée et la possibilité de ne pas voter de fonds de travaux.

La gestion des copropriétés est d’autant plus complexe qu’elles sont régies par une même loi, malgré leur diversité. Petites et grandes copropriétés doivent-elles et peuvent-elles être administrées de manière identique? Elles ne sont pas confrontées aux mêmes problèmes. Peut-on imposer des normes comptables semblables à une copropriété de 300 lots possédant un parking souterrain, des ascenseurs et un gardien, le tout fonctionnant sur un budget de 1 200 000 €, et à une copropriété quasi familiale de trois ou quatre lots gérée par un syndic bénévole avec un budget annuel flirtant avec les 1 000 €? Le législateur - notamment dans la loi pour l’accès au logement et un urbanisme rénové (Alur) - s’il ne fournit aucune définition claire de ce qu’est une petite, voire une micro copropriété, semble bien avoir tenu compte de leurs spécificités et a prévu d’adapter un certain nombre de dispositifs. Le principe à retenir reste que les règles de la copropriété s’appliquent à toutes, quelle que soit…

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