Entretenir son vélo: éviter le travail à la chaîne
Comme tout engin mécanique, un vélo doit être régulièrement entretenu et, au besoin, réparé. Or, peu de propriétaires le font, par manque de temps, de compétences, d’outillage, d’intérêt… Cette maintenance peut, pourtant, être déléguée à un professionnel ou réalisée dans un atelier participatif avec l’aide d’un animateur.
Les grandes surfaces de sport sont plus ou moins souples
En principe, lorsqu’une grande surface de sport a un rayon cycles, elle possède aussi un atelier mécanique. Ne serait-ce que pour pouvoir effectuer, avant la vente, le montage et les réglages prévus par la loi (décret n° 95-937 du 25.8.95). Elle est donc censée proposer l’entretien, la réparation et la personnalisation des deux-roues non motorisés, y compris les modèles anciens ou achetés dans une enseigne concurrente. Dans les faits, les réseaux de succursales - Decathlon, Go Sport, Sport 2000… - peuvent refuser certains cycles, leur approvisionnement en pièces détachées étant limité aux références de leur centrale d’achat. C’est le cas à Decathlon pour les vélos hollandais, car “nous ne pouvons pas nous procurer les pièces, indique un technicien de l’enseigne. Mais s’il s’agit d’un réglage, nous nous en occupons”.
Dans les réseaux de franchise, tels qu’Intersport, les points de vente sont des entreprises indépendantes. Ils doivent s’approvisionner en priorité auprès de la centrale d’achat…