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Financer ses travaux de copropriété

Ravalement, réfection des ascenseurs, travaux d’économie d’énergie: face à l’accumulation de dépenses, les finances des copropriétaires sont mises à rude épreuve. Mais des solutions existent pour étaler ou réduire, parfois sensiblement, ces coûts.

Entre la mise en sécurité des ascenseurs (loi Urbanisme et habitat du 2.7.03, voir Les travaux de mise aux normes des ascenseurs), le remplacement des canalisations en plomb (directive européenne n° 98/83/CE transposée en droit français, voir Réglementation sur l’eau: canalisations en plomb: les travaux à prévoir) et l’obligation, pour certaines copropriétés de réaliser un bilan énergétique (loi pour l’Accès au logement et un urbanisme rénové/Alur du 24.3.14), les copropriétaires font face à une avalanche de textes qui les oblige ou les incite à se lancer dans des travaux. Sans compter les travaux qui, non imposés par le législateur, se révèlent nécessaires, à l’instar d’un ravalement ou de la réfection d’une toiture. Un cas de figure fréquent dans un parc vieillissant où 53 % des copropriétés ont été construites avant 1949.

Et dans les immeubles plus récents, les copropriétaires ne sont pas non plus épargnés. L’Agence nationale de l’habitat (Anah) estimait, dans son rapport de 2012, entre…

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