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Compte-titres: encore quelques atouts malgré une fiscalité alourdie

Même si depuis 2011, la pression fiscale s’est accentuée et ce dès le premier euro de plus-value, le compte-titres peut encore se révéler utile. Sans plafonds de versements, il est aussi possible d’en détenir plusieurs et de le transférer d’une banque à l’autre.

Possibilités d’investissement

Actions, obligations, Sicav ou FCP… Toutes les valeurs mobilières peuvent être logées dans un compte-titres.

Frais

Identiques à ceux d’un PEA (voir p. 27).

Fiscalité

Les plus-values réalisées à la suite d’une cession de titres sont soumises aux prélèvements sociaux de 15,50 % et à l’impôt sur le revenu. Nouveauté 2013: s’il s’agit d’actions (ou de Sicav ou FCP investis au moins à 75 % en actions), les plus-values imposables à l’impôt sur le revenu bénéficient d’un abattement de 50 % en cas de détention depuis plus de 2 ans, et de 65 % au-delà de 8 ans. Les dividendes sont soumis aux prélèvements de 15,50 %, puis à l’impôt sur le revenu après un abattement de 40 %. Les contribuables non imposables bénéficient donc d’une fiscalité plutôt clémente.

Succession

Au…

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