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Petite ou grande structure?

Ces 10 dernières années ont été marquées par une forte concentration de l’activité de syndic et par le rachat de nombreux petits cabinets par des groupes d’administration de biens (Foncia, Urbania…), de promotion immobilière (Nexity, par exemple) ou par des banques (Crédit agricole, Crédit mutuel, BNP Paribas…).

De fait, si plus de 50 % des copropriétés sont encore gérées par de petites ou moyennes structures, celles-ci perdent régulièrement des parts de marché. Un mouvement qui devrait se poursuivre. D’autant que le métier de syndic se complexifie, qu’il nécessite des compétences accrues et des outils de plus en plus performants, et donc des investissements auxquels les petites structures ne peuvent pas toujours faire face. «Dans l’ensemble, les groupes ont des moyens humains et matériels qui conviennent bien aux grandes copropriétés», indique Morad Ayoub, directeur général de Tagerim. Même son de cloche à la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim): «On ne peut pas envisager la gestion d’une copropriété de près de 300 lots par un cabinet de 3 personnes», insiste Jean-François Buet, son président.

Dans un groupe, un gestionnaire, épaulé par une assistante et soutenu, dans son activité, par des services comptable, juridique, etc., peut gérer de 40 à 60 immeubles, soit de 1 600 à 2 400 lots…

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