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L’achat dans un contrat d’assurance vie

Quelques contrats haut de gamme proposent d’investir directement dans des SCPI. Une très bonne solution pour échapper à la pénalisante fiscalité sur les revenus fonciers.

L’idée de doper le rendement de l’assurance vie grâce à l’immobilier revient au goût du jour. Depuis peu, des fonds en euros à dominante immobilière (voir le n° 1075 du Particulier, p. 36) ainsi que des SCPI sont proposés dans quelques contrats. À la clé, une fiscalité bien plus favorable que l’impôt sur les revenus fonciers. Huit ans après l’ouverture du contrat, les plus-values ne sont soumises qu’aux prélèvements sociaux de 15,5 % (dans la limite de 4 600 € de plus-value annuelle retirée du contrat, 9 200 € pour un couple). Par ailleurs, l’assureur garantit la liquidité des parts à tout moment. Après une demande de rachat, il dispose de 2 mois pour vous verser les fonds (art. 132-21 du code des assurances). Un avantage très appréciable. En 2009, faute d’acquéreurs, les détenteurs en direct, de parts de Sélectinvest, l’une des plus grosses SCPI du marché, ont dû patienter plus de 6 mois pour céder leurs parts.
En revanche, seuls quelques contrats d’assurance vie commercialisés par des…

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