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Bilan: le drive, une autre façon de faire ses courses

Pour échapper à la corvée des courses, il n’y a pas que le supermarché en ligne, toujours assez cher. Le drive peut être un bon compromis, sans supplément de prix.

Les grandes surfaces alimentaires ont trouvé la parade à la concurrence d’internet: le drive. Le client passe sa commande et règle ses achats en ligne. Dans le créneau horaire qu’il a choisi, il se rend en voiture à l’un des entrepôts de l’enseigne, où ses courses sont chargées dans son coffre par un employé. Il s’agit d’une vraie révolution commerciale. En 2000, Auchan avait timidement lancé la formule en France ; aujourd’hui, Carrefour, Cora, Intermarché, Casino, Système U, E.Leclerc l’ont adoptée. On compte actuellement près de 1 200 drives.

Prélèvement en magasin ou en entrepôt séparé

À mi-chemin entre la vente en ligne et le commerce traditionnel, le drive a de quoi séduire le consommateur, qui ne perd plus de temps à chercher ses produits dans les rayons et à faire la queue à la caisse. Les courses peuvent être prêtes 2 h après la commande. Le prix des articles est, jusqu’ici, globalement le même qu’en hypermarché classique: parfois, certains coûtent quelques centimes de plus ; d’autres sont un peu moins chers. Sur la facture…

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