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Impayés de loyers, agissez vite et bien: adaptez vos réponses à la nature du litige

Hantise des bailleurs, les impayés restent marginaux. Toutefois, lorsqu’ils surviennent, les solutions à apporter peuvent être très différentes selon les situations.

Si les impayés de loyers restent marginaux - entre 2 et 3 % des locations selon la Fnaim -, ils constituent sans nul doute la principale hantise des bailleurs. «Même si le taux de sinistre reste faible, on sent une montée en puissance de ces problèmes chez les locataires depuis trois ou quatre ans. Lorsqu’un impayé survient, mieux vaut toujours tenter de traiter le litige à l’amiable. Mais il faudra raccourcir cette phase si le locataire est volontairement mauvais payeur», estime Claude Chetrit, vice-président de la chambre Fnaim Paris-Ile-de-France.

S’il convient d’agir avec diligence pour ne pas laisser les situations d’impayés s’installer et s’aggraver, il peut être contre-productif d’envoyer un commandement de payer par huissier dès le premier retard de loyer. Mais, en cas de contentieux, un modus operandi s’impose, notamment pour les bailleurs n’ayant pas souscrit d’assurance loyers impayés et qui ne bénéficient pas d’un accompagnement. Selon les situations et les raisons du sinistre…

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