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Avertisseur de radars, le retour?

À la fin de l’année dernière, les avertisseurs de radars ont été interdits par le gouvernement à la suite des mauvais chiffres de la sécurité routière.

Après négociation, les constructeurs de ces appareils, regroupés sous la bannière de l’Association française des fournisseurs et utilisateurs de technologies d’aide à la conduite (Afftac), ont trouvé un accord leur permettant de continuer à commercialiser leurs terminaux et leurs logiciels, sous certaines conditions. Aujourd’hui, l’expression “avertisseur de radars” a été remplacée par “assistant d’aide à la conduite” et, surtout, ces matériels n’ont plus le droit d’annoncer une localisation précise des radars. Il faut désormais parler de“zones de danger” pour les tronçons routiers particulièrement accidentogènes (la liste est transmise par les pouvoirs publics) et de “zones à risque” pour ceux qui sont signalés par les membres de la communauté Coyote. Plus question donc de radars fixes ou mobiles. Le Nouveau Coyote prend en compte toutes ces modifications et ajoute d’autres fonctionnalités. La “prévention somnolence” interroge le conducteur sur son état de fatigue en se fondant sur l’analyse de divers critères - variations de vitesse et de direction, heure et durée du trajet… - et le rappelle à l’ordre s’il risque de s’endormir au volant. Le “mode bouchons” signale au chauffeur, en temps réel, le lieu, la durée et l’origine de l’embouteillage en s’appuyant sur l’analyse des informations émises par les membres de la communauté Coyote. Cette nouvelle version est vendue 199 € avec un mois d’abonnement offert ; le mois supplémentaire est facturé 12 €. L’abonnement annuel revient à 144 € ; comptez 250 € pour 2 ans (moncoyote.com, 0892.688.910).

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