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Haro sur les césariennes programmées

Face à la hausse du nombre d'accouchements par césarienne programmée, la Haute Autorité de Santé alerte les futures mères sur les conséquences de l'intervention et publie des recommandations pour mieux informer les médecins.

Près d'une femme sur cinq donne naissance par césarienne. Dans la moitié des cas, cette intervention est programmée et représente 7,4 % des naissances selon la Haute autorité de santé (HAS). Pour diminuer les césariennes demandées par les femmes enceintes, par peur de la douleur ou suite à une mauvaise expérience lors d'un précédent accouchement, la HAS publie ses recommandations.

La HAS insiste sur le fait "que la femme soit informée le plus tôt possible", sur "le rapport bénéfices-risques de l'intervention et ses conditions de réalisation". "Le choix du mode d'accouchement doit se faire sur la base d'une décision partagée entre la femme enceinte et l'équipe médicale", estime l'Autorité.

Pour aider les femmes enceintes, la HAS circonscrit les situations pouvant conduire à programmer une césarienne:

Haro sur les césariennes programmées

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