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Des travaux indispensables, mais à quel prix ?

Le projet de loi baptisé «Grenelle II» n’impose pas de norme commune d’amélioration de la performance énergétique. Mais les objectifs chiffrés qu’il poursuit semblent difficiles, voire impossibles à atteindre aux termes prévus, ne serait-ce qu’en raison de leur coût: financier, certes, mais aussi humain. Dès lors, comment faire pour préparer le terrain?

«Nous courons, si nous ne faisons rien, à une double catastrophe, martèle Renaud Dhont, de l’ARC: appauvrissement d’une partie des ménages - obligés de consacrer une partie de plus en plus importante de leur revenu à leur chauffage - et catastrophe écologique.» «Nécessaires», c’est le terme repris majoritairement par les professionnels de la copropriété pour qualifier les travaux d’amélioration énergétique dans l’existant et la potentialité ouverte par le Grenelle II pour les réaliser. Même si le projet de loi ne fixe aucune obligation avant 2012. «Il s’agit déjà de préparer le terrain», rappelle Renaud Dhont, copilote du chantier copropriété au sein du comité stratégique Grenelle II. Nécessaires, ces travaux le sont sans doute, mais les sommes à mobiliser sont considérables. «Le moment du Grenelle II est en fait mal choisi, car les copropriétés connaissent pour beaucoup des problèmes de trésorerie», relève Claude Chétrit, responsable copropriété et membre de la chambre Fnaim de Paris…

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