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SCPI: une réforme incomplète

Le nouveau "prix d'exécution".

L'arrêté du 26 avril 2002 (JO du 4 mai) entérine la situation tout en la clarifiant. Vendeurs et acheteurs peuvent, plutôt que de traiter directement entre eux de gré à gré, ce qui reste autorisé, inscrire leurs ordres sur un registre tenu par la société de gestion en indiquant respectivement un tarif plafond et un plancher. À intervalles réguliers, la société de gestion confronte les ordres et établit un prix d'exécution qui est celui auquel s'échange la plus grande quantité de parts. La plupart des gestionnaires semblent se diriger vers une périodicité d'environ 10 jours pour cette opération (le maximum autorisé étant de 3 mois). Certains, comme Antin Vendôme et l'UFG, opteront pour un rythme hebdomadaire. Cofrag, filiale du groupe GPD, s'oriente même à terme pour ses SCPI les plus importantes, vers une confrontation quotidienne.

Les avis partagés des gérants.

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