Publicité
Réservé aux abonnés Le Particulier

Investissement locatif, les aides sur la sellette

Un premier bilan pointe les limites de dispositifs coûteux, «Robien recentré» et «Borloo» devraient être mieux ciblés, La loi «Girardin» serait réorientée vers le logement social

Un état des lieux avant la réforme.

Pour satisfaire les besoins de nos concitoyens aujourd'hui dans l'incapacité de se loger, le gouvernement s'est fixé pour objectif de construire 500 000 nouveaux logements chaque année. Au besoin, en donnant un coup de pouce aux investisseurs et, à travers eux, au secteur du bâtiment, ainsi qu'il le fait depuis plus de dix ans, sous une forme ou une autre. Qu'ils se nomment «Méhaignerie», «Quilès-Méhaignerie», «Périssol», «Besson», «Robien» ou «Borloo populaire», les dispositifs défiscalisants ont, sur ce point, fait la preuve de leur efficacité: entre 1995 et 2005, environ 471 000 logements ont été vendus par les promoteurs sous le régime d'un avantage fiscal favorisant l'investissement locatif, ce qui représente 48 % des ventes totales. D'après les données fournies par la Fédération des promoteurs constructeurs, les dispositifs «Périssol» et «Robien» (voir tableau p. 22-23), les plus appréciés des investisseurs, leur ont permis de vendre annuellement…

Cet article est réservé aux abonnés Le Particulier. Il vous reste 94% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement. Sans engagement

Déjà abonné au Particulier ? Connectez-vous

Investissement locatif, les aides sur la sellette

S'ABONNER
Partager

Partager via :

Plus d'options

S'abonner
À lire aussi

Une ville où investir : Grenoble

Une ville où investir : Grenoble

À Grenoble, les acheteurs sont moins nombreux et les prix de l’immobilier baissent depuis début 2024. Mais la dynamique capitale des Alpes regorge d'opportunités pour les investisseurs.