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L'alphabet français s'impose aux prénoms

Les contentieux sur le choix d'un prénom sont rares.

"Je ne suis pas sûr que les juridictions européennes approuveraient les tribunaux français", déclare Renaud Raffier, animateur d'un site Internet consacré aux prénoms. Cela dit, selon le ministère de la Justice, on compte moins d'une dizaine de procès par an sur cette question, pour un total de 750 000 naissances. Depuis la loi du 8 janvier 1993 modifiant l'article 57 du code civil, et sa circulaire d'application (du 3.3.93, JO du 14), les parents peuvent en effet reprendre ou créer pratiquement n'importe quel prénom de leur choix.

L'intérêt de l'enfant doit primer.

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