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Choisir ses lampes à économie d'énergie en fonction de critères techniques

La lampe fluorescente est composée, à l'origine, d'un tube empli de mercure pourvu d'un ballast à ses deux extrémités. Une décharge électrique le parcourt d'un bout à l'autre, qui produit un rayonnement ultraviolet totalement invisible si l'on n'avait couvert le tube de poudre fluorescente. On comprend mieux, dès lors, pourquoi ces lampes ont une lumière diffuse, car celle-ci est répandue sur toute la surface du tube, et non localisée en un point comme avec l'ampoule Edison, tellement brillante.

On définit ces lampes par l'énergie qu'elles consomment, exprimée en watts, et la quantité de lumière qu'elles produisent, exprimée en lumens (lm). Un modèle fluocompact de 25 W, par exemple, fournit à peu près le même flux lumineux qu'une version à incandescence de 100 W (soit respectivement 1 750 et 1 680 lm). Sur les emballages, cette correspondance en termes de flux lumineux est d'ailleurs précisée. On lit ainsi qu'une lampe fluo de 8 W correspond à une incandescente de 50 W, etc.

Deux autres critères permettent de juger de la qualité de l'éclairage. La température de couleur qualifie le ton, plus ou moins chaud, de la lumière émise. Elle va de 2 700 kelvins (K) - la bonne vieille ampoule à incandescence - à 15 000 K, lumière très blanche, en passant par 6 400 K, qui équivaut à la lumière du jour. Au départ, la température de couleur était froide. Mais les chimistes ont su fabriquer des poudres fluorescentes à base de phosphates qui fournissent des températures de couleur analogues à…

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