Cinq ans de prison et 75 000 € d'amende, c'est ce qu'encourent les personnes qui filment ou diffusent des faits de violence volontaires sur des individus (art. 222-33-3 du code pénal). Ne sont pas concernés les journalistes et les personnes filmant pour servir de preuve en justice. Objectif: lutter contre le happy slapping, consistant à enregistrer des faits délictueux, souvent avec un téléphone mobile, et à les diffuser sur Internet (art. 44 de la loi 2007-297, JO du 7.3.07).
Les journalistes du Particulier prennent en main, en conditions réelles d'utilisation des objets utiles, innovants, indispensables ou simplement futés. Découvrez aujourd'hui l'avis de la rédaction sur le smartphone Murena One.
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