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Une antenne-relais sur le toit de votre immeuble

Qu'elle soit rejetée au nom du principe de précaution ou bien accueillie pour les revenus qu'elle procure, l'implantation d'une antenne-relais sur le toit d'un immeuble fait toujours débat au sein de la copropriété. Ce qu'il faut savoir pour faire face aux séduisantes propositions des opérateurs, à l'affût d'emplacements stratégiques et de «points hauts» pour installer leurs mâts...

Les clés: Une copropriété peut s'opposer à l'installation d'une antenne-relais. Son implantation peut rapporter autour de 15 000 euros par an au syndicat. Avec l'opérateur, la relation contractuelle est par nature déséquilibrée: il faut négocier. Il est recommandé de recourir à un avocat et à l'architecte de l'immeuble.

La copropriété doit étudier la convention proposée par l'opérateur au syndic

C'est presque toujours l'opérateur - trois sont présents sur le marché: Bouygues Telecom, Orange et SFR - qui approche la copropriété sur laquelle il a jeté son dévolu, après s'être persuadé, en fonction de ses besoins de couverture et de la qualité du réseau, de la nécessité d'y implanter une antenne-relais. Il doit convaincre la copropriété, d'une part de lui louer une portion du toit, d'autre part de réaliser des travaux affectant tant l'aspect extérieur que les parties communes de l'immeuble. Il va faire une proposition au syndic, qui la répercutera au conseil syndical, lequel a alors intérêt à en informer aussitôt l'ensemble des copropriétaires. Ils peuvent ainsi examiner…

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