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Les eaux gazeuses dans la course aux bulles

Fines, légères ou très serrées... c'est sur l'énergie de leurs bulles que misent les minéraliers pour séduire le consommateur.

C'est sur la nature des bulles que les marques se battent. Au niveau européen sont autorisées, en effet, “l'élimination totale ou partielle de gaz carbonique libre par des procédés exclusivement physiques, l'incorporation ou la réincorporation de gaz carbonique dans certaines conditions”. Quelques eaux sont donc “naturellement gazeuses”: la teneur en gaz carbonique après la mise en bouteilles est la même que celle relevée à l'émergence des sources, compte tenu, s'il y a lieu, de la réincorporation d'une quantité de gaz provenant du même gisement équivalente à celle du gaz libéré au cours des opérations de traitement. C'est le cas de Quézac et d'Arvie. D'autres sont “renforcées au gaz de la source”, comme Perrier: leur taux en gaz est supérieur à celui constaté à l'émergence. Enfin, quand sur l'étiquette on lit “eau minérale naturelle avec adjonction de gaz carbonique”, cela signifie qu'elle a fait l'objet d'un ajout de gaz carbonique d'une origine différente. Dans notre échantillon, la…

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