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Comprendre les étiquettes du bois

Poutre, plancher, fenêtre, revêtement stratifié, meuble... si l'on en connaît souvent l'essence, on ne sait rien de la forêt dont l'arbre est issu (abattages sauvages ou renouvellement programmé), ni du mode de traitement après la coupe (antifongiques, colles...).

Des labels qui garantissent la bonne gestion des forêts

Apparus dans les années 1990, ils certifient que le bois a été prélevé dans des forêts correctement exploitées. Les espèces les plus menacées étaient les arbres tropicaux (le teck en tête), recherchés pour leur résistance aux intempéries et aux insectes, et donc exempts des traitements chimiques imposés aux bois produits dans les pays occidentaux. Aujourd'hui, les distributeurs, tannés par les organisations non gouvernementales (Greenpeace, WWF, etc.), commencent à faire un argument commercial de ces labels. Toutefois, ceux-ci étant coûteux pour les petits producteurs, la Camif s'en dispense, et a créé la marque Planète bleue, qui intègre cette notion de forêt gérée.

Traitements certifiés, mais taux de formaldéhyde passé sous silence

La certification CTB B+, régie par le Centre technique du bois et de l'ameublement (CTBA), détermine l'apport d'insecticides ou de fongicides que les pièces de bois doivent subir en fonction de l'essence et des lieux où elles seront placées. Le macaron Wood Protect assure, lui, d'un traitement 100 % végétal pour les bois vendus…

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