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Comprendre les étiquettes du tourisme éthique

Voyage solidaire, tourisme responsable, écotourisme ou tourisme durable, ces concepts omniprésents restent flous pour le grand public.

Pourtant, celui-ci est intéressé, comme l'a montré une enquête menée cette année à l'initiative de Voyages-sncf.com et du Guide du routard. Presque un tiers des Français en ont entendu parler, mais seulement 12 % de nos compatriotes en ont une vision claire, quant à ceux qui sont passés à l'acte (d'achat), ils ne sont que 2 %... La multiplicité des logos ne facilite pas la tâche de ceux qui veulent arriver à discerner le marketing vert (le greenwashing) ou le marketing éthique des démarches authentiques.

Beaucoup de déclarations d'intention, peu de démarches objectives

Entre 1995 et 1999, les chartes se sont multipliées, paraphées par l'ensemble des grands tour-opérateurs, sans amener beaucoup d'effets. En 2002, le ministère du Tourisme abandonnait son idée de bâtir un label du tourisme éthique. L'élan est finalement venu des voyagistes eux-mêmes. Pas n'importe lesquels, ceux du tourisme social, qui ont mis au point le sigle Ates, et ceux spécialisés dans la randonnée avec le label ATR. Des structures de taille moyenne plus sensibles à ces questions d'éthique

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