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Les agents immobiliers se mettent au low-cost

Phénomène de crise ou mouvement de fond, l'immobilier tend vers le low-cost. Si les agents traditionnels maintiennent fermement leurs tarifs et le service apporté au client, une nouvelle génération d'agents sacrifie ses honoraires et limite les prestations. Laquelle prendra le pas sur l'autre?

Internet est le principal, voire l'unique, outil de démarchage des agences low-cost, qui disposent ainsi de vitrines... virtuelles.

4 %, 3 %, 1 %, 0,9 % de commission d'agence... Qui dit mieux ou, plutôt, qui dit moins? Les agents immobiliers français seraient-ils en train de se convertir au low-cost? Leurs honoraires sont actuellement les plus élevés d'Europe, mais la crise fait évoluer les pratiques, ce qui oblige les poids lourds du secteur à se positionner face à une nouvelle génération d'agents immobiliers, dont la logique diffère totalement de la leur. Là où les premiers, maintenant fermement leurs tarifs, réaffirment la suprématie du service apporté au client, les seconds préfèrent proposer des honoraires alléchants, quitte à limiter les prestations fournies. Ils ciblent ainsi les adeptes du «Do it yourself», ces clients réticents à franchir la porte d'une agence immobilière, et qui représentent aujourd'hui la moitié du marché.

Une démarche que semblent encourager les pouvoirs publics…

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