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Le plan d'épargne logement touché mais pas coulé

Pour les nouveaux plans d'épargne logement (PEL), la prime d'État n'est versée que si l'épargnant souscrit un prêt immobilier à l'issue du plan. Malgré cela, le PEL reste un placement et un financement immobilier intéressants.

Sur les trois utilisations possibles d'un PEL, une seule est touchée par la réforme

Ce fut l'une des principales surprises de la loi de finances pour 2003: à la faveur d'un amendement de dernière minute - début décembre 2002 - les avantages de l'un des placements favoris des Français, le plan d'épargne logement (PEL), ont été revus à la baisse. Mais, que l'on se rassure, les plans ouverts avant le 12 décembre 2002, date d'application de la réforme, ne sont pas visés. Si le PEL est aussi prisé, c'est parce qu'il permet non seulement de bénéficier, au bout de quelques années, d'un prêt pouvant avantageusement financer une opération immobilière (achat, construction ou travaux), mais aussi de placer jusqu'à 61 200 € avec une rémunération garantie et réglementée, jusqu'à 4,5 % par an non imposables (mais soumis aux prélèvements sociaux, soit 4,05 % net). Du moins, pour les PEL "ancienne formule", dont le titulaire peut prétendre à cette rémunération, qu'il emprunte ou non au terme de son plan…

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