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Nord-Est: la plupart des marchés pâtissent d’un environnement économique morose

À Lille, Strasbourg, Amiens, Metz ou encore Besançon, le marché immobilier s’essouffle. L’activité s’est certes améliorée en 2010, mais cette embellie reste très fragile. À Lille, après avoir augmenté de 20% en 2010, les prix ont chuté de 6% au 1ertrimestre 2011. «Nous sommes dans l’expectative, confirme Gérard de Rycker, le président de la chambre de la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) du Nord. Le ralentissement de l’activité est très net, de l’ordre de 20à 30%. Les prétendants à l’achat sont effrayés par le niveau actuel des prix.» Ceux-ci ont, en effet, doublé en 10ans, or, les revenus des ménages n’ont pas augmenté autant. «Il y a une inadéquation entre l’offre et la demande. Il faudrait que les prix baissent de 20à 30% pour que l’activité reprenne un cours normal», constate le représentant de la Fnaim.

L’activité reste fragile dans le Nord

Le marché est particulièrement délicat à Calais où l’activité peine à se redresser, ce que les vendeurs n’ont pas encore intégré. Ici, la crise a fait des ravages, avec un…

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