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Sud-Est: les transactions ont repris en 2010 mais la hausse des prix est terminée

Dans la grande région Sud-Est, très hétérogène, les marchés n’ont pas réagi de la même façon à la crise immobilière de la fin 2008. Ainsi, Cannes, Lyon et Nice ont vu leurs prix reculer de 5% en moyenne en 2009, tandis que ceux d’Aix-en-Provence, Grenoble, Marseille, Saint-Étienne et Valence ont perdu entre 7,5 et 9,4%. La raison de ce marché à deux vitesses tient à la typologie des acheteurs, et à leur pouvoir d’achat. Dans les villes moyennes, et certains quartiers de grandes agglomérations, les prix ont dépassé le montant maximal que peuvent se permettre la plupart des acquéreurs. Seule exception: la Côte d’Azur où de nombreux biens sont des résidences secondaires. «Mais cette situation particulière de la Côte d’Azur n’a pas empêché un blocage total du marché en 2009 avec un effondrement des transactions, précise Alain Blum, directeur de l’agence de la Source, à Cannes. Les acheteurs ne voulaient plus payer des logements quelconques à des prix plafond et, en face, les vendeurs refusaient…

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