Publicité
Réservé aux abonnés

Faut-il encore investir dans les résidences de tourisme?

Entre les abus générés par la loi Demessine et l’engouement pour la loi Scellier-Bouvard, qui permet aux promoteurs de présenter une offre plus diversifiée dans des secteurs très porteurs… Il est temps de faire le point sur un produit attractif à la gestion complexe.

Rappel
- La loi Demessine: défiscalisation pour soutenir l’activité des zones rurales à potentiel touristique.
- La loi Scellier-Bouvard: fiscalité avantageuse pour les résidences services quelle que soit leur implantation.

Après la loi Demessine, et les nombreux excès qu’elle a générés dans les zones de revitalisation rurale, il est temps de faire le point sur l’investissement en résidence de tourisme. D’autant que la loi Scellier-Bouvard semble avoir réconcilié les investisseurs avec ce type de placement, parce qu’elle permet d’accéder à des secteurs très porteurs tout en bénéficiant d’une réduction d’impôt. Leur faisant parfois oublier que l’achat en résidence de tourisme doit être envisagé avec discernement.

20% de l’hébergement touristique en France

à mi-chemin entre location saisonnière et hôtel, les résidences de tourisme se composent de logements, le plus souvent des appartements, conçus pour être loués à une clientèle de passage (vacanciers, hommes d’affaires…) et dotés d’un certain nombre de services parahôteliers: accueil, ménage, petit déjeuner, fourniture de linge de maison… Elles sont gérées par des exploitants professionnels qui se chargent de vendre les séjours de location, soit directement, grâce aux relais d’information que constituent…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 95% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement. Sans engagement

Déjà abonné ? Connectez-vous

Faut-il encore investir dans les résidences de tourisme?

S'ABONNER
Partager

Partager via :

Plus d'options

S'abonner